Au Jurassique, la prêle régalait les mastodontes. Peu énergétiques, les fougères et les conifères du Jurassique ? Pas tant que ça, si l'on en croit l'équipe de Jurgen Hummel, de l'université de Bonn (Allemagne). Ces végétaux possédaient sans doute une valeur nutritionnelle suffisante pour satisfaire les besoins des brachiosaures, diplodocus et autres sauroposéidons. ln vitro, leur digestion par des sucs gastriques de mouton confirme qu'ils présentaient une qualité nutritionnelle comparable à celle des végétaux actuels.
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