Monde ANIMAL - Eucaryotes - Vertébrés, Poissons Osseux ou Osteichthyes
Il existe environ 28.000 espèces de poissons, dont près de 27.000 Poissons Osseux.
Actinopterygii (45 ordres, 341 familles, +1945 genres, +23.712 espèces) |
Surpêche et Évolution des Stocks |
Les Stocks de Poissons se Reconstituent |

L.C. - SCIENCES ET AVENIR N°902 > Avril > 2022 |
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Des Milliers de Poissons Morts |

G.B. - LE MONDE > 6-7 Février > 2022 |
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Les Stocks de Poissons vont Mieux |

L.C. - SCIENCES ET AVENIR N°890 > Avril > 2021 |
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Trop peu de Poissons de Pêche Durable sur les Étals |

QUE CHOISIR N°595 > Octobre > 2020 |
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Pêche Intensive : Véritable Pillage des Océans |

TERRA DARWIN N°5 > Septembre-Octobre > 2019 |
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Pêche Industrielle : Aucun Océans n'échappe à la surexploitation |

Y.S. - SCIENCE & VIE N°1215 > Décembre > 2018 |
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10 Millions de Tonnes de Poissons Gâchées Chaque Année |

R.M. - SCIENCES ET AVENIR N°846 > Août > 2017 |
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ÇA M'INTÉRESSE N°425 > Juillet > 2016 |
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SCIENCE & VIE Questions N°20 > Juillet-Août-Septembre > 2016 |
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L'Océan cache bien Plus de Poissons que Prévu |
OCÉANOGRAPHIE |
Avec 1000 millions de tonnes estimées, les poissons mésopélagiques (entre 200 et 1000 m de profondeur) dominaient déjà la biomasse totale des poissons des océans... Or, il y en aurait au moins 10 fois plus que prévu !
C'est la conclusion d'une vaste campagne océanique, l'expédition espagnole Malaspina. De quoi réévaluer l'importance du rôle de ces petits poissons dans l'absorption du carbone par l'océan. Chaque nuit, en effet, ils remontent vers la surface pour s'alimenter de plancton avant de redescendre en journée vers le fond, où ils sont la proie de grands prédateurs. En faisant le lien entre les deux, ils formeraient le troisième maillon de la pompe à CO2 océanique.
P.L. - SCIENCE & VIE N°1159 > Avril > 2014 |
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Taïwan : la Pêche aux Maquereaux |

NATIONAL GEOGRAPHIC > Septembre > 2013 |
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Les Poissons fuient les Mers les plus Chaudes |
OCÉANOGRAPHIE |
Nos filets de pêche contiennent de plus en plus de poissons d'eaux chaudes, au détriment des espèces locales.
Ainsi, dans l'Atlantique Nord, des espèces méditerranéennes comme le rouget cohabitent avec le cabillaud. Si ce phénomène avait déjà été observé dans plusieurs régions du monde, il vient d'être quantifié à l'échelle mondiale pour la première fois par William Cheung et Daniel Pauly, de l'université de Colombie-Britannique, au Canada.
L'évolution du contenu des filets au cours des quarante dernières années est d'autant plus marquée que la hausse des températures marines a été forte. Mais dans les eaux tropicales, les plus chaudes du globe, le phénomène s'est arrêté en 1980, malgré la hausse des températures. De fait, il n'existe pas d'espèces adaptées à des températures plus chaudes, susceptibles de remplacer les espèces subtropicales qui ont fui. La diversité des produits pêchés a donc diminué dans ces régions. Et si la température finit par dépasser la tolérance des poissons restants, c'est la viabilité des pêcheries tropicales qui s'en trouve menacée, affectant une population largement dépendante des ressources halieutiques. Déjà, dans une précédente étude, les auteurs y avaient prédit une baisse des captures pouvant aller jusqu'à 40 % d'ici à 2055.
V.E. - SCIENCE & VIE > Juillet > 2013 |
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Les Stocks Européens de Poissons se Reconstituent trop Lentement |
SURPÊCHE |
Au rythme actuel de renouvellement, les principaux stocks de poissons de l'Atlantique ne retrouveront un niveau acceptable pour être pêché de façon durable que dans trente ans.
Tel est l'avertissement lancé par Rainer Froese, de l'université de Kiel (Allemagne), qui a suivi l'évolution des stocks de 54 espèces de poissons entre 1994 et 2007.
Même en arrêtant toute capture aujourd'hui, un quart de ces espèces nécessiterait cinq à dix ans pour se reconstituer.
B.B. - SCIENCE & VIE > Mars > 2010 |
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Le Poisson pourrait Manquer dès 2048 |
Au rythme actuel de pêche, il ne restera plus d'espèces de poissons et d'invertébrés d'intérêt commercial dans les océans en 2048, affirne une équipe internationale de biologistes, océanographes et économistes dirigée par Boris Worm, biologiste à l'université de Halifax (Canada).
Ils ont analysé les données de pêche récoltées depuis 1950 par l'université de Vancouver. Cette étude repose avec acuité la question de la fiabilité des statistiques en matière de pêche. Selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, 70 % des réserves sont aujourd'hui épuisées, surexploiétes ou exploitées au maximum de leurs possibilités...
"Si les chiffres ne sont pas contestables, c'est l'extrapolation qui l'est, commente André Forest, chercheur à l'lfremer. Cette étude part du principe que l'on va laisser faire les choses. Or, les mesures mises en place ont déjà une influence positive". Boris Worm n'en disconvient pas : "Il n'est pas trop tard. Mais il faut agir vite. Et à une échelle globale, ce qui n'est pas le cas actuellement".
C.H. - SCIENCE & VIE > Janvier > 2007 |
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En 2004, l'aquaculture a fourni 59,4 millions de tonnes d'animaux et plantes aquatiques contre 96,4 millions pour la pêche traditionnelle. Désormais, la moitié de la production mondiale de poissons est issue de l'aquaculture, ainsi que 23 % des algues, 22 % des mollusques et 6 % des crustacés consommés.
48,6 Milliards d'euros : la valeur mondiale des poissons et crustacés produits par aquaculture en 2004.
336 espèces aquatique , provenant de 115 familles, étaient élevées par aquaculture en 2004.
70 % la part chinoise dans la production mondiale de ressources par aquaculture.
SCIENCE & VIE > Avril > 2007 |
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