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Activité Solaire Aujoud'hui

Une Boule de Gaz en Surchauffe

SCIENCES ET AVENIR HS N°214 > Juillet-Septembre > 2023

L'Horloge Interne du Soleil

S.F. - SCIENCE & VIE N°1248 > Septembre > 2021

Le Cycle Solaire 25 a Commencé

F.D. - SCIENCES ET AVENIR N°885 > Novembre > 2020

Le Soleil est à son Minimum

TOUT COMPRENDRE N°115 > Avril > 2020

Intense Activité sur le Soleil

SCIENCE MAGAZINE N°56 > Novembre > 2017

Soleil en Rotation

D.T. - POUR LA SCIENCE N°480 > Octobre > 2017

Le Cycle Solaire enfin Élucidé

R.I. - SCIENCE & VIE N°1200 > Septembre > 2017

Découverte de Nouveaux Cycles solaires

Des phases courtes de 11 mois seraient l'un des principaux moteurs des éruptions qui agitent notre étoile.

Fluctuante, l'activité du Soleil ne suivrait pas seulement des cycles longs de 11 ans, mais aussi des phases courtes de 11 mois ! Ces « saisons » solaires seraient même l'un des principaux moteurs des éruptions qui agitent notre étoile, ces événements violents capables de perturber les systèmes GPS, les réseaux électriques et les communications radio. Elles ont été repérées grâce à l'étude de « bandes magnetiques » qui parcourent l'astre en permanence, comme des vagues progressant lentement sur chaque hemisphère depuis les hautes latitudes jusqu'à l'équateur. Elles sont issues de l'« effet dynamo » produit par des turbulences survenant dans les profondeurs du Soleil, à plusieurs centaines de milliers de kilomètres sous sa surface. Lorsqu'elles se rencontrent, elles créent des interférences plus ou moins fortes qui diminuent ou accroissent l'activité de l'astre. Cette découverte devrait permettre de mieux prévoir la météorologie solaire. Reste désormais à comprendre l'origine exacte de ces bandes magnétiques.

A.B. - SCIENCES ET AVENIR N°819 > Mai > 2015

Le Soleil est Stable depuis 100.000 Ans
FUSION THERMONUCLÉAIRE

En mesurant le principal flux de neutrinos généré au cour du Soleil, des physiciens ont montré que la production d'énergie de notre étoile n'a pratiquement pas changé depuis au moins 100.000 ans (malgré l'existence de cycles solaires, un phénomène très différent à l'origine mal comprise).

D'une masse infime et de faible énergie, ces particules sont produites lors des réactions de fusion entre des noyaux d'hydrogène. Pour les détecter, les scientifiques ont utilisé 300 tonnes d'un liquide scintillant, enfoui sous 1400 metres de roches au centre de l'Italie.

SOURCE : EXPÉRIENCE BOREXINO, LABORATOIRE NATIONAL DU GRAN SASSO (ITALIE).

F.D. - SCIENCES ET AVENIR N°812 > Octobre > 2014

Taches Solaires

COMMENT ÇA MARCHE N°44 > Février > 2014

Un Maximum Solaire Devenu Imprévisible

CIEL & ESPACE N°516 > Mai > 2013

Le Soleil pourrait Entrer en Hibernation

Le bouquet final du soleil, attendu pour l'année prochaine, serait déjà passé, du moins dans son hémisphère nord, Qui plus est, notre étoile se dirigerait vers une période d'hibernation !

Le soleil évolue selon un cycle d'environ 11 ans. Durant le maximum d'activité, l'étoile produit plus de taches solaires, d'éruptions et d'éjections de plasma. Au cours du minimum solaire, les choses se calment. Après un minimum très marqué de 2008 à 2010, les physiciens ont prédit un maximum faible pour 2013. Richard Altrock du laboratoire de l'US Air Force au Nouveau-Mexique étudie les protubérances polaires de la couronne. Ces filaments gazeux se forment aux latitudes moyennes au début d'un cycle, puis dérivent vers les pôles, jusqu'à atteindre 76 degrés de latitude lors du maximum d'activité.
Sur la base de ces mouvements, le chercheur affirme qu'un maximum solaire particulièrement faible a eu lieu dans l'hémisphère nord du soleil autour de juillet de l'année dernière. Selon lui, le sud n'atteindrait pas son maximum avant février 2014. Cette forte asymétrie entre les deux hémisphères pourrait être un signe d'un grand minimum à venir, a déclaré Steven Tobias, un mathématicien à l'université de Leeds. Les grands minima peuvent durer des décennies. Le précédent a eu lieu entre 1645 et 1715, et a été associé au petit âge glaciaire en Europe. Mais Michael Proctor, physicien solaire à l'université de Cambridge n'est pas convaincu que cela se produira. "Le cycle actuel est semblable au cycle faible qui s'est terminé en 1913 et qui a été suivi d'un cycle fort", dit-il. Seul le temps nous le dira...

S. Tappin et R. Altrock, arxiv.org/abs/1209.2969, septembre 2012.

S.C. - LE MONDE DES SCIENCES N°6 > Décembre-Janvier > 2013
 

   
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