Animalia, Chordata, Vertebrata, Sauropsida, Dinosauria
Dinosaures du Crétacé : -145 à -65 Ma, Durée = 80 Ma
Saurischia, Theropoda, Tyrannosauroidea, Pantyrannosauria, Tyrannosaurinae : 81.9–66 Ma (12 genres, 14-30 espèces)

Amérique du Nord : Tyrannosaurus (72.7–66 Ma)

Tyrannosaurus rex aurait en fait Compté 3 Espèces

L.G. - SCIENCE & VIE N°1257 > Juin > 2022

Tyrannosaure Rex : la Star

SCIENCE & VIE DÉCOUVERTES N°265 > Janvier > 2021

Un Ancêtre du T.rex version Mini

TOUT COMPRENDRE JUNIOR N°76 > Mai > 2019

Le Bébé T.rex était Affreusement Mignon

E.L. - SCIENCES ET AVENIR N°867 > Mai > 2019

La Force de la Mâchoire du T. Rex n'a pas d'équivalent

Tyrannosaurus rex avait bien la mâchoire la plus impressionnante de l'histoire du règne animal terrestre.

Dix fois plus puissante que celle de l'actuel alligator et 6 fois plus que celle de l'allosaure, un dinosaure proche. Deux chercheurs de l'université de Liverpool et de Manchester (Royaume-Uni) ont scanné des fossiles de crânes des trois espèces, et reconstitué par ordinateur le reste de la mâchoire.

Ils ont aussi noté que, durant la croissance du T. rex, l'augmentation exponentielle de sa mâchoire compensait une perte d'agilité due à des pattes arrière de plus en plus petites par rapport au corps.

G.S. - SCIENCE & VIE > Mai > 2012

Un Parasite Terrasse le Tyrannosaure

Ces lésions ne sont pas des traces de combat (en jaune), elles sont dues à un petit parasite unicellulaire qui été capable de terrasser le redoutable T. rex !

Trichomonas est connu pour creuser des trous circulaires aux contours lisses à l'arrière des mâchoires des oiseaux... Or, en étudiant 61 crânes de T. rex, l'équipe internationale du paléontologue Ewan Wolff a repéré des lésions similaires sur 10 d'entre eux. Leur mandibule déformée, nécrosée, empêchait les animaux malades de se nourrir, les condamnant à mourir de faim.

E.R. - SCIENCE & VIE > Décembre > 2009

On a réussi à Séquencer une Protéine de T.rex

Les os fossilisés du Tyrannosaurus rex dans lesquels des tissus mous avaient été retrouvés l'an dernier réservaient une surprise : des protéines de collagène vieilles de 68 millions d'années !

Une première, la survie des protéines étant jusque-là considérée comme impossible au-delà d'un million d'années. L'équipe de Mary Schweitzer de l'université d'Etat de Caroline du Nord (Etats-Unis) a réussi à séquencer une partie de ces fibres élastiques, principal constituant organique des os. L'enchaînement d'acides aminés de cette glycoprotéine a pu être identifié, puis comparé à des séquences de collagène d'animaux vivants.

Résultat : la protéine du dinosaure a 58 % de similitudes avec le collagène de poulet. Une preuve qui soutient l'hypothèse d'une parenté entre certains dinosaures et les oiseaux modernes.

E.H. - SCIENCE & VIE > Juin > 2007

 
   
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