Chez les malades, des chercheurs de l'Inserm et de l'Inra ont remarqué la quasi-absence de Faecalibacterium prausnitzii, bactérie résidente de l'appareil digestif. Cette absence pourrait contribuer au dérèglement du système immunitaire qui se retourne alors contre l'organisme. Les chercheurs français ont étudié la bactérie in vitro, puis l'ont administrée à des souris traitées pour présenter des signes comparables à ceux de la maladie de Crohn. Leurs symptômes ont alors été réduits.
|