Les pays adeptes de la sieste ont en commun un nombre réduit de maladies cardiovasculaires. Partant de ce constat, l'université Harvard (Cambridge, Massachusetts) et celle d'Athènes ont, durant six ans, effectué des tests sur 23.681 Grecs de 20 à 86 ans pour vérifier les éventuels bienfaits de cette habitude millénaire. C'est la première fois qu'une étude d'une telle ampleur était menée. Pour les auteurs, la diminution du stress serait la cause de ce phénomène.
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