La régénération des membres de l'axolotl n'est pas le fait des cellules pluripotentes.
En introduisant une protéine fluorescente dans les cellules de l'axolotl, des chercheurs de l'Institut Max-planck et de l'université de Dresde ont pu observer la régénération de ses membres.
Chaque cellule intervenant dans ce mécanisme possède une "mémoire" de sa fonction antérieure, comme chez l'homme notamment.
Alors qu'on attribuait cela à des cellules pluripotentes.